L'eau se raréfie, la faute au réchauffement climatique qui fait augmenter la température et rompt l'équilibre entre le volume annuel des pluies et l'intensité de l'ensoleillement.
Alors comment faire?
Des retenues d'eau ont été réalisées, mais celles-ci seraient alimentée l'hiver par pompage des nappes phréatiques, ce qui ne résout pas le problème puisque les nappes phréatiques ne se rechargent pas d'avantage en saison chaude, sinon par la restitution de ces retenues. Là est un mystère dans la conception auquel il serait difficile de répondre quant à la réelle utilité du principe, car à l'arrivée, le volume d'eau reste le même.
Alors, vraiment, la solution?
Pomper l'eau douce aux deltas des fleuves
La solution peut venir des fleuves tant qu'ils sont pourvues d'eau des pluies, en pompant l'eau douce à leurs deltas, mais pas en amont, des centaines de mètres cubes d'eau douce retourne à la mer et au resalage chaque seconde pendant les longs mois des saisons pluviales et aussi en saison chaudes. Il serait possible alors, de rediriger cette eau vers les retenus prévues à cette effet, mais aussi pour le remplissage des lacs de montagnes où elle prendrait le temps de se régénérer et être prête à réguler les fleuves l'été cette fois, ainsi ce volume d'eau naturellement adoucie effectuerait un cycle bénéfique pour l'environnement, évitant le dessalement de l'eau de mer.
Ensuite, faute d'eau douce à pomper aux deltas des fleuves, à un stade avancé du réchauffement climatique, cette fois la mer devrait nous en rendre le volume nécessaire, des hydroliennes pourraient aussi pourvoir les berges des fleuves nous procurant l'énergie nécessaire et évitant la propagation de centrales nucléaires qui faute d'eau de refroidissement deviendraient extrêmement dangereuses, sinon décisives pour notre existence.
Va-t-on manquer d'eau?
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